Espace élus

Guy Girard, maire de Crillon-le-Brave

« Chaque année nous faisons appel au service Voirie. Ces dernières années, il a réalisé un pluvial en béton, mis en place des ralentisseurs, refait des chaussées, aménagé complètement un chemin communal très accidenté. Pour nos villages ce service est indispensable, voire l’un des plus importants. Nos équipes communales assurent l’entretien courant. Pour les gros travaux, nous ne pourrions y faire face sans son concours. Nous serions obligés de nous retourner vers des entreprises du secteur privé et très certainement avec moins de proximité et de réactivité. Nous ne pouvons que louer la qualité du service et le professionnalisme des équipes conduites par André Pontier. »

Laurent Dupuy, chef des services techniques de Bédoin

« Ayant fait partie du service Voirie, je connais bien ses compétences. Je l’ai sollicité dans différents domaines, tels que l’aide à la mise en place des décorations de Noël avec les équipes d’électriciens et la nacelle, le débroussaillage des bords de chemin, les fermetures de nids de poule à l’émulsion après la mise en place par les agents de la commune d’enrobé à froid, ce qui assure l’étanchéité de la réparation et la rend pérenne. Il est intervenu aussi pour du bicouche et du curage de fossés, de la réfection de chemin, de la peinture routière, et pour du balayage. Ces actions sont complémentaires de celles des entreprises privées. Bédoin bénéficie d’environ 40 000 € de fonds de concours Voirie. »

Stéphane Ségarra, agent de la Voirie

« J’ai trente-cinq ans de service à la Voirie. J’ai été le premier agent recruté, le 24 février 1986, rue d’Allemand à Carpentras, sous la direction de M. Robert Mouriès, le directeur de l’époque. Il n’y avait aucun engin et puis il y a eu une montée en puissance jusqu’à dix-sept agents. Nous ne sommes plus que onze mais cela ne diminue en rien le savoir-faire que nous avons à transmettre. À l’origine, on faisait déjà de l’émulsion, du débroussaillage avec sept tracteurs qui travaillaient dans toutes les communes, sachant qu’au début il n’y en avait que huit et qu’aujourd’hui il y en a vingt-cinq. »